Stéfanie Mango
Avec The Postiche, c’est une expérience complète et exigeante, à la fois de la voix, la musique, la présence scénique et du jeu théâtral.
Retour en mode vintage, les années 50’ sont le cadre tant au niveau de la musique que des costumes et des maquillages. Charme, glamour et féminité…
Depuis le tout début de la création de The Postiche l’envie était d’interroger les stéréotypes qu’on attribue à la femme. En les inscrivant dans les années 50’, nous y avons ajouté une petite note de distanciation mais évidemment ces stéréotypes nous parlent encore aujourd’hui.
La femme objet, la femme fatale, la femme poupée, la femme mutli-tâche, la femme bavarde, la femme pratique et tellement plus encore sont représentées et interrogées. C’est un un jeu permanent de second degré et de sourire à donner au public.
Il n’y a pas de mots qui passent à travers les lèvres rouges, uniquement des notes de musique. Tout l’enjeu du jeu se développe à travers les corps, les expressions des visages et la complicité entre les chanteuses. Ce qui rend The Postiche à la fois unique et universel !
Avec The Postiche, c’est une expérience complète et exigeante, à la fois de la voix, la musique, la présence scénique et du jeu théâtral.
Retour en mode vintage, les années 50’ sont le cadre tant au niveau de la musique que des costumes et des maquillages. Charme, glamour et féminité…
Depuis le tout début de la création de The Postiche l’envie était d’interroger les stéréotypes qu’on attribue à la femme. En les inscrivant dans les années 50’, nous y avons ajouté une petite note de distanciation mais évidemment ces stéréotypes nous parlent encore aujourd’hui.
La femme objet, la femme fatale, la femme poupée, la femme mutli-tâche, la femme bavarde, la femme pratique et tellement plus encore sont représentées et interrogées. C’est un un jeu permanent de second degré et de sourire à donner au public.
Il n’y a pas de mots qui passent à travers les lèvres rouges, uniquement des notes de musique. Tout l’enjeu du jeu se développe à travers les corps, les expressions des visages et la complicité entre les chanteuses. Ce qui rend The Postiche à la fois unique et universel !

C’est un un jeu permanent de second degré et de sourire à donner au public.
Née en été 1982, Stéfanie a toujours été animée par les mots et les récits. Adolescente, elle découvre le théâtre et la comédie musicale au Théâtre des Jeunes de Pully (TJP) où elle suit une formation.
En 2012, elle écrit sa première pièce de théâtre : Sola, La Sorcière et l’Inquisiteur, créée au Château de Chillon par la Cie Les Compagnons de la Marjolaine, dans une mise en scène de Jo Boegli et avec une musique Pascal Auberson.
En 2013, elle écrit les textes des chansons de la création Le Génie de la Ligne 7, pour le chœur mixte La Chanson de Montreux sous la direction de Dominique Gesseney-Rappo. Musique d’André Ducret. Pour le théâtre, elle écrit Miel en résidence d’un mois à Vandoeuvres (Maisons Mainou), avec le soutien de la SSA.
En 2014, elle écrit l’adaptation française du spectacle musical Le pont du Diable, par la Cie du Bouc, dans une mise en scène de Benno Muheim, un spectacle qui a été joué plusieurs fois en tournée dans la Suisse romande.
En 2017, elle est certifiée du CAS Dramaturgie et Performance du texte.
De 2017 à 2019, elle travaille en tant que chroniqueuse dans l’émission Les Curieux (La Télé) et, depuis mai 2019, dans l’émission Les Bras Cassés (Couleur 3).
Stéfanie à côté de son travail d’écriture est également metteuse en scène. Elle met en scène : « Immeuble en fête » (Cie de la Marelle, 2010), « Tsim Tsoum » (Cie La Fraise Bleue, 2013), « Sans la barbe ! » (The Postiche, 2016), « Tea Party » (Cie La Fraise Bleue, 2017), « À Temps moi » (École de théâtre Diggelmann, 2016), « La lutte finale » (création pluridisciplinaire en collaboration avec Dominique Tille et Pierre-Yves Borgeaud, 2018), « Etakétikétok » (École de théâtre Diggelmann, 2018), « Jour de Fête » (The Postiche, 2018).
Elle enseigne au TJP de 2005 à 2014 et à l’Ecole de théâtre Diggelmann à Lausanne depuis 2009.
Née en été 1982, Stéfanie a toujours été animée par les mots et les récits. Adolescente, elle découvre le théâtre et la comédie musicale au Théâtre des Jeunes de Pully (TJP) où elle suit une formation.
En 2012, elle écrit sa première pièce de théâtre : Sola, La Sorcière et l’Inquisiteur, créée au Château de Chillon par la Cie Les Compagnons de la Marjolaine, dans une mise en scène de Jo Boegli et avec une musique Pascal Auberson.
En 2013, elle écrit les textes des chansons de la création Le Génie de la Ligne 7, pour le chœur mixte La Chanson de Montreux sous la direction de Dominique Gesseney-Rappo. Musique d’André Ducret. Pour le théâtre, elle écrit Miel en résidence d’un mois à Vandoeuvres (Maisons Mainou), avec le soutien de la SSA.
En 2014, elle écrit l’adaptation française du spectacle musical Le pont du Diable, par la Cie du Bouc, dans une mise en scène de Benno Muheim, un spectacle qui a été joué plusieurs fois en tournée dans la Suisse romande.
En 2017, elle est certifiée du CAS Dramaturgie et Performance du texte.
De 2017 à 2019, elle travaille en tant que chroniqueuse dans l’émission Les Curieux (La Télé) et, depuis mai 2019, dans l’émission Les Bras Cassés (Couleur 3).
Stéfanie à côté de son travail d’écriture est également metteuse en scène. Elle met en scène : « Immeuble en fête » (Cie de la Marelle, 2010), « Tsim Tsoum » (Cie La Fraise Bleue, 2013), « Sans la barbe ! » (The Postiche, 2016), « Tea Party » (Cie La Fraise Bleue, 2017), « À Temps moi » (École de théâtre Diggelmann, 2016), « La lutte finale » (création pluridisciplinaire en collaboration avec Dominique Tille et Pierre-Yves Borgeaud, 2018), « Etakétikétok » (École de théâtre Diggelmann, 2018), « Jour de Fête » (The Postiche, 2018).
Elle enseigne au TJP de 2005 à 2014 et à l’Ecole de théâtre Diggelmann à Lausanne depuis 2009.